Le patrimoine
L'abbatiale Notre-Dame
L’Abbatiale Notre-Dame est le dernier vestige de l’Abbaye de Guîtres florissante au Moyen-Âge.
Le début de sa construction date du XIème siècle. Ce lieu vaste est l’un des plus grands lieux de culte de Gironde.
Elle recèle une magnifique charpente en châtaignier datant du XVème siècle et en parfait état.
L’Abbatiale est classée Monument Historique depuis 1901.
Voir “Chemin du Patrimoine”
Le puits Henri IV
Conformément à l’ordonnance du 7 octobre 2021 portant réforme des règles de publicité, d’entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales et leurs groupements, les comptes-rendus des conseils municipaux sont désormais remplacés par les délibérations votées et validées par le contrôle de légalité.
L’hôtel de ville
Conformément à l’ordonnance du 7 octobre 2021 portant réforme des règles de publicité, d’entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales et leurs groupements, les comptes-rendus des conseils municipaux sont désormais remplacés par les délibérations votées et validées par le contrôle de légalité.
Le train de Guîtres
Le train touristique de Guîtres recèle aussi un joli musée ferroviaire avec différents éléments du passé de la SNCF à l’intérieur de la gare.
Plusieurs locomotives (dont la T20 à vapeur) et voitures sont classées “Monument Historique
La maison à pans de bois
Elle est réputée être la ,plus ancienne maison de Guîtres, la maison à pans de bois, à l’angle des rues Antoine-Jay et Bordelaise est l’illustration des techniques de construction en pays Gabaye avec des matériaux locaux.
La commune a lancé une procédure pour prendre la priorité de cette maison (bien sans maître) et y lancer un chantier de restauration.
Voir Chemin du Patrimoine
Le presbytère
Cette maison fait partie des possessions du prieur claustral de l’abbaye avant la Révolution. L’ensemble est vendu comme bien national en 1791 à Arnaud Tranchère. C’est une propriété privée jusqu’à ce que la commune la rachète à Pierre Desgranges en juin 1844. Le bâtiment sert déjà de presbytère puisque dans un bail de 1834, il est précisé que le curé « y est logé depuis plusieurs années ». Il dispose de neuf pièces dont trois sont ornées de trumeaux de cheminée « non dégradés », d’un cellier, d’un toit à cochons et d’une volière en fil de fer installée dans la cour.