LE DISCOURS DU MAIRE LORS DE LA CÉRÉMONIE DES VOEUX AUX HABITANTS DE GUÎTRES

VŒUX DE LA MUNICIPALITÉ AUX HABITANTS

Vendredi 12 janvier 2023

Madame la Conseillère départementale

Madame le Maire de Saint-Denis-de-Pile représentant Monsieur le Président de la Cali

Mesdames et Messieurs les vice-présidents et conseillers délégués de la Cali

Mesdames et Messieurs les Maires et élus des communes avoisinantes

Chers Francis Pejean et Louis Bureau, anciens Maires de Guîtres

Mesdames et Messieurs les élus de Guîtres, 

Madame la Principale du collège Jean-Aviotte, 

Mesdames et Messieurs les représentants des écoles de Guîtres,

Messieurs les représentants de la gendarmerie, de la compagnie de Libourne et de la Brigade de Guîtres,

Mesdames et Messieurs les représentants des corps constitués,

Mesdames et Messieurs les représentants des associations, des commerçants, 

Mesdames et Messieurs, 

En ce début 2024, je tenais avant tout, à vous souhaiter, au nom de l’équipe municipale qui m’entoure, au nom du personnel communal, je tenais à vous souhaiter une très belle année, à vous souhaiter, tout simplement le meilleur. Que cette année puisse vous assurer le bonheur, la santé, la réussite dans vos projets qu’ils soient liés à vos activités professionnelles, scolaires, associatives, sociales, personnelles bien entendu, qu’elle vous réserve de l’amour et de l’amitié, qu’elle vous permette de vous accomplir au mieux en vous sachant entourés, soutenus, accompagnés, que cette année 2024 soit propice au bien-être et tout particulièrement dans votre belle commune de Guîtres. Vous direz que chaque année, c’est la même chose, au même moment. Mais cette fois, je vous souhaite comparativement aux trois premières années de notre mandat, un jour de bonheur supplémentaire le 366ème ! 

Je voudrais en ce début d’année avoir une pensée plus particulière pour ceux dont la fin 2023 n’a pas été facile. Ceux qui ont perdu un proche, ceux qui ont également souffert des inondations, des angoisses inhérentes, du désespoir, parfois, de voir leurs biens inexorablement attaqués par la montée des eaux. Toutes nos pensées vont vers eux ! 

Mesdames et Messieurs, en ce début d’année, la situation internationale ne nous incite pas à la gaudriole… La situation nationale non plus dans un contexte de hausse de prix (encore 10% sur les tarifs de l’électricité) et de politique fiction qui ne nous met, visiblement, pas à l’abri de grand-chose. 

Pourtant, je voudrais être optimiste ce soir. C’est peut-être irrationnel mais c’est comme cela ! C’est d’ailleurs un peu irrationnel de dire que j’ai toujours préféré les années paires aux années impaires, mais là aussi, c’est comme cela. 

Non, si je vous dis cela c’est parce que je sens, imperceptiblement, que 2024 va être une bonne année pour Guîtres, peut-être même la première année du reste de la vie guîtraude !

Voici quatre ans, presque jour pour jour, dans cette même salle où cette équipe qui m’entoure et moi-même tenions une réunion publique dans le cadre des élections municipales qui nous ont propulsés à la mairie, je me souviens avoir fait une double déclaration : la première était que Guîtres, pour revivre, devait s’ouvrir aux autres, développer ses partenariats. La seconde était que Guîtres, plutôt que d’errer dans la nostalgie de son passé, certes glorieux, gagnerait à s’armer de ce passé pour construire son avenir. Un avenir évident tant le potentiel de Guîtres est important, tant notre passion et notre ambition pour cette commune sont grandes ! 

Mesdames et Messieurs, lorsque vous voyez sur ces affiches, sur le bandeau de ce pupitre « Guîtres Village d’Avenir », ce n’est pas un effet de manche, c’est une réalité ! L’État ne s’y est d’ailleurs pas trompé en intégrant Guîtres, en ce début d’année, dans ce nouveau dispositif national appelé « Village d’Avenir », qui fait suite à d’autres dispositifs tels qu’Action Cœur de Ville ou Petites villes de Demain. Guîtres, aujourd’hui, est officiellement classé Village d’Avenir comme 16 autres communes de Gironde, parmi 2000 des 36000 communes de France. 

Si Monsieur le sous-préfet, Matthieu Doligez, retenu par les vœux du Préfet de Région à Bordeaux, ce que je comprends parfaitement, avait été là, je l’aurais remercié très sincèrement et personnellement de cette marque de reconnaissance, et j’aurais remercié, à travers lui, l’État, d’avoir compris, constaté que notre commune n’a pas qu’un passé révolu. D’avoir compris, constaté qu’elle a surtout un avenir, un bel avenir. D’avoir compris, constaté que nous le construisons, pierre par pierre, au prix d’un travail quotidien, d’une vigilance constante, d’une audace innovante, imaginative indispensable, et d’une interdiction formelle de ne pas rêver !

Cet avenir, nous le construisons sur ce qu’est notre commune, sur sa configuration et sa beauté, sur sa richesse patrimoniale que nous requalifions, sur le développement de sa zone de sports et de loisirs, sur son rayonnement, sur son potentiel qui, je l’ai déjà dit, offre à Guîtres une carte spécifique qui doit avoir la valeur d’un atout respecté dans le développement du territoire libournais.

« Village d’Avenir », ce n’est pas rien ! Contrairement à la Marianne d’Or obtenue en 2022, qui nous a surtout assuré une belle cérémonie et une Marianne couleur dorée dans mon bureau, « Village d’Avenir », en plus d’un honneur pour la commune, en plus d’une reconnaissance pour le travail effectué et en cours, c’est un formidable outil qui nous permettra d’avancer dans nos projets et d’en lancer de nouveaux. 

Il prévoit un soutien en ingénierie ce qui n’est pas un luxe dans une commune de notre taille aux services communaux obligatoirement limités, il prévoit aussi des options financières pour peu que nous sachions les mobiliser. Comptez sur nous pour le faire !

Ce dispositif nous permettra d’attaquer sereinement la suite. Pas sur l’Abbatiale, sur le complexe sportif, sur les projets déjà lancés, mais il nous aidera à lancer d’autres projets importants comme la requalification du fronton et des bâtiments en entrée de Grand-Rue, par exemple, comme la revitalisation commerciale sur l’avenue de l’Isle avec l’aménagement en cellules commerciales, cette année, des garages communaux situés face à l’épicerie de Pierre Palem, comme la requalification du centre et de la place du puits Henri-IV, etc. Ce sont de nouvelles portes qui s’ouvrent !

Ce label est une victoire pour Guîtres ! Mais, pour emprunter le langage du journalisme sportif, c’est finalement une victoire logique ! Comment une commune qui a, en trois ans, redonné vie à son port comme un véritable lieu de rencontre, de fête, de vivre ensemble, désormais nanti d’une restauration, d’activités nautiques, d’un ponton flambant neuf grâce à la Cali, qui recevra de nouvelles toilettes automatiques, cet été, avant de poursuivre, dès que ce sera possible par un aménagement du Jardin de la Motte, comment une telle commune pourrait ne pas avoir d’avenir !

Comment une commune de la taille de Guîtres qui a requalifié sa plaine des sports des Gueytines, en rénovant son gymnase, en aménageant un city-stade, de nouveaux courts de tennis, en accueillant un terrain de football synthétique intercommunal et répondant aux normes environnementales, en installant, cette année, une zone de fitness avec des agrès à la disposition de tous, comment une telle commune pourrait ne pas avoir d’avenir ?

Comment une commune qui développe un important projet culturel et participatif au Fronton, qui se bat pour retrouver du commerce de proximité comme celui de Monsieur Jacques, notre boucher, malheureusement victime d’un accident cette semaine, comment une commune qui aménage des cellules commerciales comme ce sera le cas dans les garages communaux de l’avenue de l’Isle, pour des producteurs locaux, qui poursuit, malgré les chausse-trappes, ses démarches pour accueillir un restaurant gastronomique dans un écrin touristique et patrimonial adapté, comment une commune qui attire des investisseurs qui piaffent d’impatience pour lancer leur projet de réhabilitation d’immeubles sur la place du Puits, comment une commune qui enregistre l’arrivée, chaque année, d’une trentaine de nouvelles familles attirées pour la plupart par un coup de cœur, un dynamisme, des projets, comment une telle commune pourrait ne pas avoir d’avenir.

Comment une commune qui se construit sa marque rayonnante autour de son port et ses activités, de son patrimoine et de sa découverte le long d’un chemin du Patrimoine aménagé, éducatif, connecté, autour du train touristique qu’elle abrite et qui attire chaque année 6 à 7000 visiteurs, autour de ses installations sportives ouvertes librement à tous, comment une commune qui présente ainsi un panel d’activités pouvant désormais retenir les touristes intra-muros, un, deux, trois jours, comment cette commune pourrait ne pas avoir d’avenir ? 

Comment une commune qui compte 50 associations aussi diversifiées que dynamiques, comment une commune qui mise sur sa jeunesse qui lui est attachée, qui enfante des jeunes, ambitieux et auréolés de réussite comme Jules Avril, vainqueur de la Coupe de France Nationale de karting ou Maxime Cattai, finaliste du concours d’éloquence de la Cali, comment une commune qui a la chance d’accueillir un collège public dont les résultats au brevet sont les meilleurs de l’agglomération, un collège qui fourmille d’initiatives collectives et citoyennes, comment une commune qui acquiert des terrains et obtient de haute lutte et de la Cali, la construction à venir d’un centre de loisirs qui accueillera entre 60 et 100 enfants dans un site spacieux, naturel, verdoyant et voisin des 4 hectares de la plaine des sports et loisirs des Gueytines, comment une telle commune pourrait ne pas avoir d’avenir. 

Winston Churchill le disait : « Un peuple qui oublie son passé, n’a pas d’avenir… » Alors comment une commune qui consent d’énormes sacrifices, qui se confronte aux complications administratives, culturelles et patrimoniales pour sauver son Monument Historique qu’est l’Abbatiale, comment une commune qui accompagnera la création d’une nouvelle association de défense du Patrimoine guîtraud autour d’Olivier et Annie Dupuis, avec la volonté de préserver et promouvoir notre patrimoine et tout particulièrement la maison à pans de bois à l’angle de la rue Antoine-Jay et de la rue Bordelaise, pour laquelle nous avons lancé une procédure de bien sans maître pour enfin pouvoir y intervenir, comment une telle commune pourrait ne pas avoir d’avenir. 

Guîtres, village d’avenir ? Nous le savions déjà mais désormais c’est inscrit dans le marbre ! Et c’est une très bonne nouvelle !

Cela dit, l’avenir de notre commune serait diablement précaire si elle ne développait, comme je l’avais également dit, il y a quatre ans, des partenariats solides et concrets. 

Le premier doit unir les élus, les services communaux, désormais pilotés par Rose-Marie Ullman et les habitants. Lorsque nous recrutons un responsable technique, apte à organiser un travail cohérent sur le terrain, c’est par souci d’efficacité, pour progresser dans notre gestion quotidienne. Lorsque nous réorganisons et renforçons le service de la bibliothèque, grâce à un nouvel agent, des élus et des bénévoles motivés, grâce à une profonde rigueur retrouvée, c’est pour offrir de meilleures réponses aux usagers. 

Mais il ne peut exister de partenariat unilatéral et comme il est écrit dans le magazine municipal de ce trimestre, aucun effort de notre part ne sera réellement efficace si, par ailleurs, nous devons déplorer un civisme dilué et une citoyenneté disparue… Les dépôts sauvages, les dégradations publiques, les nuisances sonores, les livres non restitués, les vitesses excessives en sont les armes pernicieuses, dont la principale victime n’est finalement que l’intérêt général que nous voulons pourtant privilégier.

En parlant de partenariat, je pensais aussi et surtout à la nécessité pour Guîtres de s’ouvrir à l’extérieur. Notre commune ne pourrait rien espérer si, d’aventure, il lui venait l’idée saugrenue de se confronter, seule, à son avenir, en fermant hermétiquement ses portes. Rien ou pas grand-chose ne serait possible !

Nous savions qu’il allait nous falloir frapper aux portes, nous montrer convaincants et attractifs pour fonder des partenariats solides. 

Je parlais de l’État et de ce label Village d’Avenir, mais l’État nous accompagne aussi sur des projets aussi importants que l’abbatiale, les gymnases, nous suivra sur la revitalisation de notre commerce, sur les projets environnementaux que nous pouvons mener, grâce au Fonds Vert !

Je parle aussi du Département très présent dans la rénovation du gymnase et dont nous aurons encore besoin pour les deux tranches à venir, avec lequel nous avons fondé notre projet urbain qui démarrera dès que l’Abbatiale et les gymnases seront hors de danger.

Je parle de La Cali, qui nous aménage un synthétique, un ponton, qui créera à Guîtres un centre de loisirs, qui nous accompagne dans une opération programmée d’amélioration de l’habitat qui permettra de faciliter la requalification de notre centre-ville, qui favorise l’installation de nos commerces par ses études et ses aides.

Je parle aussi de notre superbe partenariat avec les communes de Sablons, Lagorce, Saint-Martin de Laye, Bonzac qui, avec nous, ont sauvé un service public primordial puisqu’il s’adresse aux plus fragiles, souvent aux plus isolées, le service d’aide à domicile. Merci Messieurs les Maires, chers Jean-Claude, Bruno, Jean-Luc, Christophe, chers amis, de nous avoir aidés à sauver ce service, unanimement reconnu pour sa qualité et la richesse de sa proximité, et merci d’avoir sauvé, par là-même, une dizaine d’emplois !

Je parle aussi de partenaires non institutionnels, avec la Banque des Territoires qui nous accorde, en raison des économies d’énergie que nous générons, un emprunt important et de longue durée, en toute confiance, emprunt qui nous permettra de mener à terme la rénovation des gymnases. 

Je parle de la Fondation du Patrimoine qui lancera une collecte de dons pour l’Abbatiale et auprès de laquelle nous avons candidaté, cette semaine, pour le loto du Patrimoine. Si quelqu’un connaît Stéphane Bern, c’est le moment 

Ces partenariats n’auraient jamais été conclus si nous n’étions pas crédibles, si nos projets ne l’étaient pas ! Et c’est cette crédibilité qui enrichit la valeur de la carte d’atout dont je parlais un peu plus tôt.

Mesdames et Messieurs, 2024, année paire… Surtout une année qui devrait nous permettre de soulager nos impatiences. Parce que tout prend beaucoup de temps ! D’autant plus lorsqu’il s’agit d’aménagements autour de nos monuments historiques et des exigences légitimes mais draconiennes et chronophages des instances culturelles et patrimoniales. Un exemple : nous sommes prêts à démarrer la restauration de l’abbatiale, nous avons acquis le garage Gagnebée que nous pouvons donc démolir… Mais aujourd’hui, on nous demande préalablement des fouilles archéologiques, pour dater les charpentes qui vont être remplacées, un travail qui nous sera facturé aux environs de 70 000 euros… Il faut reprendre le bâton de pèlerin !

Mais les travaux démarreront cette année, comme ceux du gymnase se poursuivront. La première tranche concernant la salle omnisports se clôturera en mars et nous attaquerons de suite après le dojo. 

La proximité de l’abbatiale fait aussi que les travaux de réaménagement de notre entrée de commune sur la RD10 ont pris beaucoup de temps pour recevoir les autorisations patrimoniales nécessaires. Nous les avons obtenues et ce sera fait cette année, comme la rue Saint-Léger dès que les travaux sur le réseau d’eau auront été exécutés. Nous y ajouterons la rue Pépin, la petite rue du port et expérimenterons la circulation en écluses sur la rue Portail de la Barrière… Nous inverserons également le sens du Stop à l’intersection de l’avenue de l’Isle et de l’Avenue du Stade pour limiter la vitesse de la circulation, vitesse que nous contrôlerons toujours plus régulièrement avec le soutien de nos amis gendarms. 

Nous travaillerons à notre entrée de commune, par le pont de Sablons, en aménageant, comme je l’ai dit précédemment, les trois garages communaux en deux cellules commerciales à l’adresse des producteurs qui pourront s’y relayer. Nous avons demandé le devis, à un tailleur de pierre guîtraud, cher David Guillet pour reprendre tout le mur de soutènement de l’avenue de l’Isle, ceci en attendant que nous puissions lancer notre projet urbain qui prévoit le réaménagement de la place de la République et d’une partie des boulodromes de la place du Champ de Foire en parc de stationnement. 

2024, ce sera également le lancement du réaménagement de trois immeubles des rues Sainte-Catherine et Notre-Dame, grâce aux investisseurs et aménageurs enthousiastes que sont Éric et Maxime Girard. Mais là aussi, le temps s’est allongé interminablement et j’ai dû réellement taper du poing sur la table des bureaux d’étude et de l’Établissement Public Foncier pour qu’enfin s’estompe une certaine condescendance face à un projet tenu par des aménageurs infiniment volontaires pour venir à Guîtres et surtout en complet accord avec la mairie sur le cahier des charges de cette réhabilitation urbaine. Mon petit doigt me dit que cela va bouger en ce début d’année !

Nous poursuivrons le développement de la plaine des Gueytines en rénovant le dojo, comme je l’ai dit, mais aussi en installant des agrès de fitness, à la disposition de tous, sans doute à proximité du city stade. Nous les avons déjà reçus, il ne reste qu’à trouver le site et aménager l’espace. Ce sera pour le printemps. Plus tard, dans les années à venir, nous acquerrons une grande partie des terrains Pina, à proximité de la plaine des Gueytines, qui deviendront, nous nous sommes entendus avec la famille, un parc urbain qui assurera une liaison douce et agréable entre la plaine des sports et le centre ville. 

Cette année, nous acquerrons également une partie de vos terrains chère Nicole Avril, près du cimetière, terrains qui accueilleront le futur centre de loisirs, vraisemblablement d’ici 2026.

Et puis, nous redonnerons vie à un lieu, un joli lieu, à savoir le fronton que nous allons enfin aménager selon un projet de fonctionnement concret et participatif avec le musée des Beaux-Arts de Libourne, l’association Cargo de l’Usine Végétale. Ce sera un lieu d’exposition et de création artistique qui abritera les associations guîtraudes mais également des artistes en résidence, les collégiens de Jean-Aviotte, les élèves de nos écoles dans des salles de travail dédiées. Elles 0 seront aménagées, en prolongement de la salle principale, l’ancienne école de musique et dans les immeubles des 1 et 3 Grand-Rue. Des immeubles que nous réaménagerons et ravalerons, comme le parvis et le pignon, pour offrir à la Grand-Rue une entrée réhabilitée. 

Mesdames et Messieurs, nous n’aurons pas trop d’une journée de plus en 2024 pour atteindre nos objectifs. 

D’autant que nous continuerons, dès que l’occasion se présente, nous continuerons, avec les associations, de faire la fête, ensemble, sur le port principalement où nous  installerons de nouvelles toilettes modernes et automatiques. Nous ferons la fête lors de nos festivités communales, lors de nos marchés gourmands, lors du « Moule-Frites » du 14 juillet, lors de la Fête de la Nature, lors de Guîtres fête son patrimoine, lors de la Fête de la Musique, La fête des Voisins. Nous continuerons de développer des rendez-vous sportifs comme le départ de la dernière étape du Tour de Gironde cycliste au mois de mai, des spectacles culturels de qualité et que nous voudrons innovants, autour de l’abbatiale bien sûr, autour de nos événements communaux. 

En espérant et c’est un véritable espoir que les Guîtraudes et les Guîtrauds soient toujours plus présents lors de ces incomparables moments de vivre ensemble, qu’ils se les approprient pour en faire également leur marque de fabrique.

Mesdames et Messieurs, au nom de toute mon équipe et des membres du personnel communal, je vous réitère mes meilleurs vœux pour l’année 2024 et vous invite, vous l’avez bien mérité même si je me suis efforcé de noircir huit pages de moins que l’an passé, à partager avec nous le pot de l’amitié. Bonne année !

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